mercredi, décembre 19, 2007

Parenthèse(s) hivernale(s).

Avec un léger décalage, mes 240 mois ont joué les prolongations.

D'une journée,


d'une semaine.



Alors, forcément, un peu blasée en début de semaine.
Au contre-coup, ajoutez un conseiller d’orientation qui vous dit alors que votre bouée de secours, ça peut être les concours administratifs [le pire est à venir], en commençant par ceux de niveau C, ou "y a la gendarmerie aussi, ça vous dit pas ?"... Un vrai comique, comme on en croise rarement.
Mais aussi, d'une prof qui ne fait que lire, mot pour mot, le poly que vous avez sous les yeux, avec le sourire en bonus hein, parce que, vous comprenez, c’est bientôt la nouvelle année.
(Pour éviter toute montée suicidaire, fuir au bout d’une heure.)
Et quelques autres détails insignifiants.

Mais voilà, ça ne pouvait pas durer !
Au programme de la journée remotivation :
- une traversée de la ville,Willow sur le dos.
Faut pas croire, ça demande une intense mobilisation des ressources attentionnelles. Surtout dans les transports. Si jamais une personne imprudente en arrive à tomber, parce qu'elle ne se tenait pas suffisamment bien par exemple, il faut pouvoir se pousser très vite, pour qu’elle tombe où elle veut, mais (évidemment) pas sur Willow.

D’ailleurs, ma nouvelle prof a une approche complètement différente de celle de l’ancien. Beaucoup plus… naturaliste, en fait. Fini les mouvements forcés et exercices de musculation des doigts (c’est là que je me rends compte que mon ancien prof était quand même un peu sadique^^, mais il avait un unvisers musical plus vaste).
Et c'est une très bonne bonne chirurgienne de violoncelles (mon chevalet avait bougé).

- Un brin de neuro. [Cette année, accessible à mon petit cerveau !!]

- LE cours où on oublie qu’il n’y a, soit pas de lumière, soit pas de chauffage, selon la salle choisie, on peut pas tout avoir, hein : entre psycho, psychiatrie, et anthropo. Bien loin de la psycho clinique «classique», quelque peu moraliste sur les bords.

Sinon, je crois que l’association relations publiques/ faux semblant et surjeux (observés) est de plus en plus ancrée.
Ou comment se conforter dans son asocialisation, et plutôt bien s’en porter.

Et puis, avant de retrouver les falaises et la maison de poupée aux volets bleus : match d’impro_le retour; récitals de clavecin, et dimanche, d’orgue (enfin !!) (oui, j’aime me perdre au milieu de têtes à cheveux blancs.)



Ca vaut bien une pause chocolat, tout ça.
Et puis, pendant que j'suis motivée, soirée découverte de Françoise Héritier :)

3 commentaires:

Anonyme a dit…

bonjour jolie musicienne Normande.

Rose Noire a dit…

Oh :)
Dis, pourquoi tu donnes jamais de tes nouvelles, hein ?! :p

Bisous ma saboxeuse !

Anonyme a dit…
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