vendredi, septembre 22, 2006

Méfiez-vous des diviX.

De retour en salle info, ça faisait longtemps !
Eh oui, à l’heure qu’il est, mon ordi est à moitié décédé.
Tout a commencé avec A la folie pas du tout. Alors qu’Angélique sortait de l’HP, le diviX a explosé dans le lecteur. (Non, ce n’est pas une blague.)
Donc hier : journée dehors.

Après avoir parcouru la ville pour trouver tout ce qui faut pour l’invitation annuelle des parents à manger, j’apprends qu’ils n’ont plus envie de venir.
Ayant horreur que les gens se forcent à, je ne précise pas que j’ai déjà tout acheté.
Le point positif, c’est que j’ai plus besoin de faire de courses pour la semaine.
(Mon père viendra quand même dimanche aprèm pour tenter de ranimer mon ordi. Priez pour lui ^^).

Donc, le soir, je déprimais sur mon synthé, lorsque ma voisine_de_connexion est venue sonner. Elle, déprimait à cause de l’individualisme ambiant. (Elle est marocaine, et a un peu de mal à s’adapter.)
Comme quoi, les déprimées s’attirent ^^.
Deux heures à parler d’Inde, de Chine, de Pérou… Vous l’aurez deviné, mon nouveau but dans la vie, c’est de trouver un riche héritier, minimum 80 ans.

Demain, Je vais bien, ne t’en fais pas. Sur la défensive, vu que […], mais ça meublera mon aprèm.

A très vite :-).

2 commentaires:

Anonyme a dit…

arf et toi qui préparait cette visite depuis un moment a trouver des recettes sympas a leur faire

Ils n'ont pas lair d'avoir envie de faire d'effort et je dirais tant pis pour eux si je peux me permettre. Après tout avec ou sans eux (mm si ce serait mieux avec eux) il te faut poursuivre ton chemin et avancer !

Prends soin de toi avant toute chose...

t'adore fort ma presque voisine

Anonyme a dit…

Difficile de répondre...

Parce que tu envoûtes, malgré une douleur qui perce dans ton article.. Parce qu'il y a l'espoir, au fond. Un brin d'ironie décontenançant , et parce qu'au fond, c'est génial, la façon dont tu écris.

Un peu à l'image de je vais bien ne t'en fais pas, un fond triste, tragique, et pourtant l'espoir , qui reste, et la VIE qui transperce...

Gros bisous, Hélène.