Aujourd’hui, la petite stagiaire que je suis avait rendez-vous avec son collègue de projet pour aller présenter l’assoc, obtenir une salle à la médiathèque, et trouvez quelqu’un d’assez sympa pour s’invertir un peu dans le projet avec nous. (Passionnant, tout ça.)
A l’entrée : « Ah oui, la salle… La salle pour le spectacle de ce soir, c’est vous c’est bien ça ?
- Ah non non non, c’est pas nous ça ! Nous on sera avec des ados, après les vacances… »
Sourire fier du monsieur, à la j’t’ai eue, petite.
Hé ouais, ma naïveté a encore frappé.
Bref, après quelques montées et descentes d’escaliers, un monsieur accepte nous aider. [ô joie, un problème de (presque) réglé, la vie sociale me tend les bras...]
Vint le moment fatal : celui où il faut noter l’adresse email du monsieur. Je m’explique. Mon bloc-notes a été ensevelit, il me faut vider mon sac. Deux livres, trois DVD (la médiathéque, c’est la vie !) et surtout…. Globolf...
… Ou comment perdre toute crédibilité en à peine cinq secondes :
Après Audrey (la poule !) et tant d’autres, Globolf !
Globolf… Quelques heures plus tôt, sur la colline lyonnaise, une fête forraine.
Une fête forraine et Mr S., grâce à qui j’ai pris conscience de l'ampleur des dégâts dans les casinos, et la demande croissante de psys sur le terrain.
Au bout de quelques pièces glissées dans les machines à pinces (ou attrapes nigauds), son déterminisme a payé : voilà qu’il me met Globolf dans les bras.
Je n’ai évidemment pas pu résister longtemps à ses yeux globuleux.
A suivre.
Globolf sous un autre angle, c'est par ici !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire