lundi, janvier 14, 2008

Oppression nocturne.

Angoisse. Ce mot s’est installé dans mon vocabulaire à l’époque où je fréquentais, par écrans interperposés, des demoiselles consommatrices d’anxiolytiques.
Du coup, je ne sais jamais si ce qu’il y a à l’intérieur, c’en est vraiment ou pas. (Et ça n’a aucune importance.)

Toujours est-il qu’heureusement que demain midi, on ne commence pas par le TP de neuro où il faut être passé par le royaume de Morphée pour avoir un tracé exploitable. (Oui, on branche des électrodes sur nos semblables. Parait même que c’est amusant.)

Cette nuit, l’écho se sera imposé de lui-même, en même pas deux clics.



Marie-Claude Pietragalla, extrait de Sakountala.


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