J’ai passé une bonne partie de la nuit/début de matinée à finir ma jupe. Oui, je me suis mise à la couture ! Sans machine à coudre, c’est un peu la galère, mais ça fait du bien de faire quelque chose de ses petites mains, de temps en temps.
Plus tard, je pourrai être faiseuse de jupes (aux finitions bâclées.)
Petit aperçu :
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Attention, information capitale.
Avec Lou, ou la demoiselle hirondelle, depuis quelques temps, on voulait créer un espace sur le net, où l’on partagerait ensemble nos photos.
Et bien, le voici : tout neuf, tout beau… Coup double !
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Crépuscule.
Soleil couchant et quelques flocons de neige.
Je me suis rarement sentie aussi légère.
Petit retour en arrière. Lycée, en 1ère.
Prenez le meilleur prof de français jamais croisé jusqu’alors, et un livre à la couverture très souple, éditions Gallimard. A l’intérieur, les sœurs Papin, sous la plume de Jean Genet.
Vous obtenez un 16 à l’oral de français (à côté de mon 2 en maths, j’en ris encore…), et surtout LA pièce qui m’a réconciliée avec le théâtre.
Des années que j’en rêvais, de la voir prendre vie.
En attendant, j’ai essayé de me consoler avec les Blessures assassines (par Jean-Pierre Denis).
Et puis, jeudi dernier, il y a eu le Petit bulletin et son « Y a ça qui a l’air par mal ».
Dimanche 23 novembre, les Bonnes de Genet sur les planches lyonnaises.
Trois ans que j’y pensais : une pièce le 23 novembre.
J'aime la force des instants-liants. Les vrais, les rares, les si précieux. Pas du théâtre, non. Une partie de chacune.