Fin d'aprèm = onset of a severe depression.
Seulement voilà, ne voulant pas me jeter dans la Seine avant le 7 mars, avec Melle C., nous avons trouvé le refuge idéal... le pays des ombres.
"(...) Au départ, au début du commencement: un soupçon, juste l'ombre d'un soupçon. (...)
Le sombre héros surgit de la nuit. Il tire plus vite que son ombre.
Hombre, quel est ton nombre ? Quel est le nombre des ombres ?
Il y a les ombres premiers ou décimaux. Il y a les ombres chinoises, les ombres sombres, les ombres lumineuses. Les ombres portées, les ombres îles du monde. Les ombres d'un doute...
Je suis comme mon ombre, partout où je vais elle est là, partout où elle va je suis là ; je ne suis que l'ombre de moi même ; un corps c'est toujours avec son ombre, un corps sait qu'une ombre n'est pas un corset.
Tout un chacun a une ombre, toute ombre a un chacun. Que font nos ombres lorsque nous avons le dos tourné ? Ombres, où êtes vous la nuit ? Mais au fait, on dit un ombre ou une ombre ? Il ou elle ? Mon nombre : il, ou mon ombre : elle ?"
Christophe Salengro d'après Claude Ponti.
(Depuis le temps que j'en rêvais...)
jeudi, mars 20, 2008
Les ombres se marient-elles en blanc ?
Publié par Rose Noire , à 22:14 2 commentaires
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