Des montagnes, des enfants. Puis les deux réunis, découverte de l'immédiateté et de la promixité (quasi) permanente.
Jamais été aussi peu chez moi que ces trois derniers trois mois. (D'ailleurs, si la Sncf veut créer une nouvelle carte de fidélité, je suis preneuse !)
Quelques escapades parisiennes, des rencontres, des anniversaires...
J'ai été une festivalières, aussi : le festival du film de sculptures, le Rock dans tous ses états, et surtout, le (22ème) festival international de théâtre de rue (mais d'artS de rue, en réalité). Où l'espace public devient un territoire d'e(n)jeu, de création. Amateurs ou professionnels. Du théâtre, du cirque, de la danse, et beaucoup de musique.
Alors, forcément, je rêve d'y retourner dans quelques années, avec Willow sur le dos. (Et avec au moins un(e) autre instrumentiste, ou danseur/se, dans l'idéal !)
Un petit aperçu, dans lequel se sont glissés quelques instants figés, ailleurs.
Des nouvelles de Willow maintenant, tout de même : malgré trois mois passés dans la pénombre, seul, il se porte bien.
D'ailleurs, je ne l'ai pas écrit ici, mais actuellement, il est orphelin. C'est ma faute aussi, j'ai pas pensé lui faire signer de contrat, au guide-violoncelliste. (Non, en fait, le devoir l'appelle, plus loin.)
Donc tous les deux, on est à la recherche d'un tiers. (Faut que je commence à démarcher les écoles de musique...)
Voilà, le reste... Je partage pas :-)